Un problème courant que je rencontre lorsque je traite avec des clients, qu’ils soient des employés, des travailleurs indépendants, des gestionnaires ou des directeurs, est de rester calme aux yeux des autres. Voici 10 bonnes raisons de ne plus se soucier des juges qui vivent presque dans nos têtes.

10 conseils pour vous libérer du regard des autres

 

Les autres, juges suprêmes?

Le regard des autres nous intimide, nous impressionne et influence nos opinions et nos actions. Il devient vite une sorte d’entité autonome, l’Autre, dont les yeux impitoyables guettent la moindre, la plus infime des fautes, et nous exposent jusque sur les bancs de la société. Minimiser la fréquence et l’ampleur de nos jugements Et comment – curieusement ? – D’autres partagent nos peurs aussi. Nous sommes en plein carnaval et chacun regarde les autres avec inquiétude depuis la protection des masques…

 

 De ce fait, nous passons beaucoup de temps à évaluer nos actions avant d’agir, créant un décalage entre qui nous sommes, qui nous voulons être, et l’image que nous essayons de projeter « -proportions canyon ». L’énergie coûte vraiment cher. , on pense toujours qu’il faut franchir le gouffre pour plaire, pour éviter le rejet, etc. Je suis là.

 

 

Libérez-vous du regard des autres

Alors voici 10 bonnes raisons de se moquer de ce regard fatigué. Mais fais attention. Le but est de minimiser l’impact que les regards des autres ont sur nous, afin que nous puissions nous cacher au plus profond de nos antres, sortir de notre hibernation et nous exprimer sans crainte. Parce que c’est bon pour l’estime de soi. Il ne s’agit pas de gonfler votre ego jusqu’à ce que vous soyez absolument sûr de pouvoir faire ce que vous voulez sans vous soucier de vos contemporains.

D’autre part, puisque ce sont des raisons, ces affirmations sont fondées (ce qui est une révélation) et sont le produit d’un raisonnement logique. Même quand quelque chose semble tout à coup complètement vrai, ce n’est pas facile à croire car l’écart entre la raison et l’intuition peut être si grand. L’idée est donc de proposer un autre regard sur les choses afin de bousculer les croyances limitantes qui créent notre peur aux yeux des autres. 1- Le jugement des autres nous appartient

Nous généralisons notre propre système de valeurs et évaluons ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. Alors quand on pense que montrer ses émotions est un signe de faiblesse, on a tendance à imaginer que les autres pensent la même chose. Et que savez-vous? Souvent, nous nous trompons !

 

2- Les autres jugent… ni plus ni moins que nous

La peur d’être jugé peut être directement proportionnelle à la tendance à juger. Pour les raisons mentionnées en 1., lorsque nous jugeons systématiquement le comportement des autres, nous sommes plus susceptibles d’être convaincus que les autres font de même.

Comprendre le but du jugement et pourquoi nous sommes des bienfaiteurs

 

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 3- Le jugement des autres a peu d’effet néfaste 

 L’impact réel des jugements des autres sur nos vies, s’il est mesuré aussi objectivement que possible, est très faible. passer un test:

 

 – Que se passe-t-il vraiment quand les autres voient ce que vous essayez de cacher ? – Quand Turtempion pense que vous n’êtes pas grand, beau ou fort ; quelles sont les vraies conséquences ? 4- L’acceptation de soi nous rend beaux et attirants

Accepter nos défauts et nos lacunes nous rend profondément humains. Nous, comme tout le monde, sommes imparfaits et faillibles, et sommes très réconfortants pour nos concitoyens (et nous aussi). Ainsi, l’estime de soi est la beauté dans la laideur. Du moins de quelqu’un qui a su se convaincre 😉

 

 la confiance rend attirant

 

 

 

 

5- D’autres nous souhaitent du bonheur

À quelques exceptions près, les personnes que nous rencontrons chaque jour nous souhaitent bonne chance. Et lorsque vous vous perdez dans les sombres méandres du funk, fluve, midget et autres bizarreries, vous oubliez que la bienveillance et l’indifférence sont plus courantes que la calomnie et la méchanceté. Et cette calomnie parle de ceux qui la pratiquent, pas de ceux qui en souffrent. 6- L’importance que nous accordons aux autres est un pouvoir énorme 

 Ce n’est pas aussi compliqué qu’un vaisseau de communication. Plus vous accordez de valeur aux jugements des autres, moins vos propres jugements ont de valeur. C’est ainsi que vous donnez aux autres le pouvoir de déterminer votre valeur. Adieu l’estime de soi. Brrr, il fait froid. Ainsi, au lieu d’attendre l’approbation de la Cour suprême, apprenez à vous valoriser. 7- C’est de la lecture de pensées

… et nous ne sommes pas des bétazoïdes. Nous ne savons pas ce qui se passe dans la tête de l’autre, et même si nous nous connaissons bien, cela pourrait nous surprendre. Imaginer ce que les autres pensent est une perte de temps et d’énergie. Car la plupart du temps on succombe à des interprétations abusives et on se plante dans la famille royale.

 

8- Se focaliser sur le regard des autres, c’est ignorer les autres

Si cela peut sembler contradictoire à première vue, il n’en est rien. En me concentrant sur ce que je crois (je n’y connais rien, voir 7), les autres penseront à moi. Je me projette juste et ne leur donne pas l’espace pour exprimer qui ils sont… un bon moyen de ruiner une relation !

 

 4 conseils infaillibles pour ruiner les relations

 

 

 

 9- Les jugements des autres n’appartiennent qu’à eux

Tant que leurs opinions et leurs jugements sont basés sur des systèmes de valeurs, de croyances et de perceptions non universels, ce qu’ils pensent n’appartient qu’à eux. Cela signifie qu’eux aussi sont susceptibles de pratiquer des interprétations abusives, des jugements hâtifs, etc. 10- Se soumettre à un dictateur et après ? Accorder une grande importance au regard des autres signifie suivre les diktats d’un ensemble de valeurs qui ne nous appartiennent pas. Nous sommes mieux que cela!

 

 

 

 En bonus, un peu d’auto-coaching : prenez l’avis des autres de votre côté

Une partie importante d’autres peuvent rejoindre les rangs des parents et des connaissances, favorisant un sentiment de reconnaissance et d’inclusion sociale. Pour cette raison, il est préférable de rechercher ces signes alimentaires plutôt que de perdre du temps sur des signes de jugement.

Et quelle importance accordez-vous au regard des autres dans votre vie ? Selon vous, quelle est la raison la plus convaincante de se moquer du regard des autres ? Laquelle ajouteriez-vous ? Comment pouvons-nous nous concentrer davantage sur les signes de reconnaissance et d’intégration ?