UE vs USA : quand la guerre commerciale propulse l’or au sommet

Encore un bras de fer transatlantique. Le 1er août 2025, la Commission européenne a annoncé vouloir activer des mesures de rétorsion commerciale contre les États-Unis, en réponse à l’instauration de droits de douane allant jusqu’à 15 % sur les produits européens. Une escalade qui ravive les tensions commerciales d’avant-Covid… et qui, une fois encore, met à nu la fragilité du système monétaire sur lequel repose l’épargne de millions de Français.

Car dans cette lutte de géants, il y a toujours des victimes collatérales. Et ce sont rarement les banques. Elles, quoi qu’il arrive, facturent leurs frais et verrouillent les capitaux. Ce sont les épargnants, les vrais, qui voient leur argent se dévaluer à mesure que l’euro plonge face au dollar.

L’euro dévisse, l’or flambe

La conséquence immédiate de cette guerre commerciale ? L’euro a chuté à 0,94 dollar au matin du 2 août, son plus bas niveau depuis février 2024. Un affaiblissement qui renchérit les importations, alimente l’inflation… et mine la valeur réelle de l’épargne en euros.

Mais pendant que la monnaie papier se déprécie, l’or, lui, s’apprécie.

Côté en dollars, il bénéficie mécaniquement de la baisse de l’euro : +4,2 % sur une seule semaine. En euros, le prix du gramme vient de franchir les 67 €, établissant un nouveau record historique.

Pourquoi ? Parce que l’or est international, tangible, et totalement décorrélé des politiques monétaires nationales. Il n’obéit ni aux tweets de Trump, ni aux discours de Lagarde. Il monte… parce qu’il est ce qu’il est : une valeur refuge millénaire.

Les banques ? Absentes. Ou complices

Que proposent les banques face à cette nouvelle crise ? Rien. Ou pire : des contrats de fonds euro faiblement rémunérés, eux-mêmes exposés à la volatilité des marchés. Elles continuent d’enfermer les capitaux dans des enveloppes opaques, inaccessibles en cas de turbulence.

Et quand l’euro se dévalue ? Elles encaissent.

Et quand l’or grimpe ? Elles se taisent.

Pourquoi ? Parce que l’or, c’est la liberté. Et les banques détestent la liberté.

Sortir du système pour protéger son patrimoine

Heureusement, des solutions concrètes existent pour ceux qui refusent de regarder leur argent s’éroder au fil des crises.

Des sociétés comme Montgraletcapital.com, spécialisée dans l’achat de pièces d’or à but d’investissement, accompagnent aujourd’hui des milliers de Français dans un processus simple : transformer une épargne virtuelle et vulnérable en actifs tangibles et sécurisés. Leur nouveau pôle dédié à la débancarisation aide les clients à reprendre la main sur leurs avoirs, à l’abri des politiques monétaires et des fermetures bancaires surprises.

Même aucoffre.com, référence sur le marché français, rapporte un afflux de nouveaux clients ces dernières semaines. Et pour cause : les tensions commerciales mondiales rappellent brutalement que le système n’a rien d’infaillible.

Et si cette crise était une chance ?

Cette guerre douanière ne sera pas la dernière. D’autres suivront. Les devises continueront de se battre. Les marchés resteront instables.

Mais dans cette tempête, une constante demeure : l’or protège, l’or rassure, l’or valorise.

Ce n’est pas seulement un placement. C’est un outil de souveraineté personnelle.

À l’heure où l’UE prépare ses sanctions, où les États-Unis imposent les leurs, et où l’euro vacille, la seule zone de stabilité, c’est celle que vous construisez vous-même.
Et parfois, elle tient dans une simple pièce d’or, bien réelle, bien à vous — et loin des banques.

 

Author: Amine

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